Les femmes doivent dire: «j’en suis capable!», tel est le titre d’une interview de Monika Ribar, ancienne directrice de Panalpina, dans le Tages Anzeiger (éd. du 4.4.13). Il arrive encore à de nombreuses femmes de ne pas se sentir capable d’assumer des fonctions de cadre, dit-elle. Les hommes se préoccupent du montant de leur salaire, les femmes se demandent si elles seront à la hauteur de la tâche. Des conseils d’administration ont réalisé ces dernières années que les candidatures féminines doivent être recherchées activement. Les résultats se font jour peu à peu (voir page 8).

Aux appels d’ACTARES pour une collaboration bénévole, les hommes sont significativement plus nombreux à s’annoncer que les femmes. Il apparaît que les femmes se fixent la barre plus haut, qu’elles réfléchissent davantage au temps disponible pour ce nouvel engagement, et si ce ne sera pas au détriment d’une autre importante activité. Lorsqu’une femme se décide, on peut être quasiment sûr que sa contribution sera précieuse.

En ce sens, ACTARES se réjouit de recevoir de nombreuses propositions de collaboration de femmes (et d’hommes), par exemple dans des groupes de travail par entreprises ou par thèmes: talon@actares.ch.